La sophrologie, l’étude de la conscience en harmonie
Ne prenez pas peur, cela signifie tout simplement que la sophrologie considère l’être humain dans sa globalité, quel qu’il soit et quelle que soit sa problématique.
Ne prenez pas peur, cela signifie tout simplement que la sophrologie considère l’être humain dans sa globalité, quel qu’il soit et quelle que soit sa problématique.
La sophrologie a pour fondement que toute action positive sur le corps ou le mental induit des répercussions sur les plans physiologiques et psychiques de la personne.
Ses 3 principes fondamentaux :
Tout cela vous semble complexe à comprendre ? Rassurez-vous, la pratique de la sophrologie est très simple !
Elle se déroule toujours de la même façon :
Les différentes étapes de la séance
Parce qu’elle est simple et accessible, la sophrologie s’adresse à tout le monde : enfants, adolescents, adultes, groupes.
De par son approche, la sophrologie aide dans de nombreux domaines les personnes en difficulté ou en souffrance :
La sophrologie s’est développée au départ dans le milieu médical, puis paramédical en tant que technique complémentaire. Petit à petit, elle s’est ouverte aux domaines de la pédagogie, de l’enseignement, du sport et du mieux-être.
Approche complémentaire dans le domaine de la santé
Autres domaines
Essentiel à savoir !
La sophrologie ne se substitue en aucun cas à un traitement médical. Elle intervient toujours en complément de ce traitement.
Les coûts sont définis en fonction de certains critères, mais vous en êtes averti dès le 1er rendez-vous, ainsi que du nombre de séances à prévoir.
De plus en plus de mutuelle rembourse les consultations. Renseignez-vous auprès de votre organisme.
C’est en 1960 que le médecin neuropsychiatre colombien Alfonso Caycedo crée la sophrologie. Pour cela, il s’est intéressé aux états et niveaux de conscience, comme la veille, la vigilance, la concentration ou encore le coma.
De l’hypnose à la sophrologie
Alfonso Caycedo commence par étudier l’hypnose médicale, puis la phénoménologie. Cette philosophie pose comme précepte le fait d’aborder tout phénomène comme si on le vivait pour la première fois : sans a priori, sans jugement, sans analyse, sans interprétation, sans rien en attendre. Il s’agit juste d’être à l’écoute de ses sensations. Sur le conseil du psychiatre suisse Binswanger, spécialiste de cette discipline, Alfonso Caycedo part en Inde pour apprendre le yoga dynamique. Au Nord de l’Inde, il découvre le bouddhisme et, au Japon, il s’initie à l’enseignement Zen. À son retour, il élabore les relaxations dynamiques du 1er, 2e et 3e degrés, inspirée chacune de l’un des trois grands courants orientaux.
Du médical au social
Au début, la profession de sophrologue était réservée aux personnes de formation médicale et paramédicale. En 1977, Alfonso Caycedo ouvre la profession à toutes personnes souhaitant se former. Ce sont les premiers pas de la sophrologie sociale, telle que nous la connaissons aujourd’hui.
SOPHROLOGIE & HYPNOSE
Une association efficace
La sophrologie et l’hypnose s’emploient seules ou ensemble. Associées, elles permettent de répondre à certaines situations avec plus d’efficacité :
Définition de la sophrologie par le Dr Miguel Guirao
“En sophrologie, on porte une attention toute spéciale à la respiration. Elle est à ce point importante dans les exercices corporels qu’avant même de s’y adonner, il faut apprendre à respirer. La respiration et le mouvement sont deux phénomènes indissociables (c’est la clé du succès en athlétisme). L’exercice sophrologique n’est pas un exercice musculaire à proprement dit, mais plutôt un exercice corporel qui tente d’étendre la conscience jusqu’à nos mécanismes les plus intimes. Il s’agit de sentir que nous respirons avec notre corps, que notre corps respire, qu’il y a quelque chose en nous qui respire. C’est pour cela que l’exercice respiratoire doit toujours être synchrone avec le mouvement.”
Extrait de “La Neuropsychologie de la Sophrologie”